En 1718, au début de la colonisation de la rive nord de la rivière de l’Assomption, les habitants traversent cette voie d’eau en chaloupe ou en canot. Sur la rive sud, près du débarcadère, se trouve le chemin qui mène au village de Repentigny ainsi qu’à l’église de la Purification, seul lieu de culte et rendez-vous dominical incontournable pour toute la communauté repentignoise avant la construction de l’église Saint-Paul-l’Ermite en 1859.
Vers 1735, Jean-Baptiste Larivière devient le premier passeur d’eau de la petite traverse. Pendant longtemps, cette dernière, une fois située sur la terre de Joseph Daveluy-Larose au 19e siècle, est communément appelée « traverse Larose ».
Au cours des années, le passage sur la rivière prend différentes formes : pendant la belle saison, un bac manœuvré à l’aide d’un câble fixé de chaque côté de la rivière ainsi qu’un pont de bois temporaire appuyé sur des pirogues reliées les unes aux autres; et pendant l’hiver, un pont de glace formé naturellement.
La traverse assure aussi un lien entre le Chemin du Roy et le réseau routier de la rive nord qui devient progressivement plus achalandé au tournant du 19e siècle, jusqu’à ce qu’il devienne le Chemin de la Reine. Durant près de deux siècles, la traverse contribue grandement à la circulation des biens et des personnes entre les deux rives.
Les passeurs suivants exploitent la petite traverse :
Au milieu du 19e siècle, tel que convenu par le premier conseil municipal de la paroisse de Repentigny, le passeur d’eau exige pour l’aller-retour 20 sous pour une voiture à quatre roues, 12 sous pour un homme à cheval, 2 sous pour un homme à pied et 2 sous pour un mouton, chèvre ou cochon.
En 1932, la traverse cesse ses activités et la construction du pont Rivest en 1963 occupe sensiblement l’emplacement de la traverse.
Les passeurs suivants exploitent la grande traverse :
En 1718, au début de la colonisation de la rive nord de la rivière de l’Assomption, les habitants traversent cette voie d’eau en chaloupe ou en canot. Sur la rive sud, près du débarcadère, se trouve le chemin qui mène au village de Repentigny ainsi qu’à l’église de la Purification, seul lieu de culte et rendez-vous dominical incontournable pour toute la communauté repentignoise avant la construction de l’église Saint-Paul-l’Ermite en 1859.
Vers 1735, Jean-Baptiste Larivière devient le premier passeur d’eau de la petite traverse. Pendant longtemps, cette dernière, une fois située sur la terre de Joseph Daveluy-Larose au 19e siècle, est communément appelée « traverse Larose ».
Au cours des années, le passage sur la rivière prend différentes formes : pendant la belle saison, un bac manœuvré à l’aide d’un câble fixé de chaque côté de la rivière ainsi qu’un pont de bois temporaire appuyé sur des pirogues reliées les unes aux autres; et pendant l’hiver, un pont de glace formé naturellement.
La traverse assure aussi un lien entre le Chemin du Roy et le réseau routier de la rive nord qui devient progressivement plus achalandé au tournant du 19e siècle, jusqu’à ce qu’il devienne le Chemin de la Reine. Durant près de deux siècles, la traverse contribue grandement à la circulation des biens et des personnes entre les deux rives.
Les passeurs suivants exploitent la petite traverse :
Au milieu du 19e siècle, tel que convenu par le premier conseil municipal de la paroisse de Repentigny, le passeur d’eau exige pour l’aller-retour 20 sous pour une voiture à quatre roues, 12 sous pour un homme à cheval, 2 sous pour un homme à pied et 2 sous pour un mouton, chèvre ou cochon.
En 1932, la traverse cesse ses activités et la construction du pont Rivest en 1963 occupe sensiblement l’emplacement de la traverse.
Les passeurs suivants exploitent la grande traverse :