Une première chapelle d’une superficie de 12,2 sur 6,7 mètres (40 sur 22 pi) est érigée en 1678. Construite en murs de pieux avec un toit de paille, elle était située près du manoir seigneurial. Évidemment démolie depuis, elle portait le nom de « La Conception ».
Avant 1684, Repentigny est considéré comme une « mission » et c’est donc un prêtre missionnaire qui dessert la seigneurie. Dans le rapport de l’état général des missions commandé par Mgr de Laval en 1683, il est décrété que Saint-Sulpice abrite 4 familles et 12 âmes; l’île Jésus (aujourd’hui Laval), 6 familles et 30 âmes; Lachenaie, 20 familles et 70 âmes; et enfin Repentigny, 28 familles et 118 âmes.
Le 4 novembre 1684, la paroisse de Repentigny est officiellement créée sous le nom de « L’Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie » par l’évêque, Mgr François-Montmorency de Laval. Le 24 juin 1838, Mgr Jean-Jacques Lartigue attribue le nom de « L’Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie » à la paroisse Saint-Pierre-du-Portage. La paroisse de Repentigny prend alors le nom de « Purification-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie ».
Dès le début du 20e siècle, les plages repentignoises, tant le long de la rivière de l’Assomption qu’en bordure du Saint-Laurent, attirent de nombreux villégiateurs en provenance de Montréal. Cet afflux massif entraîne, pendant les mois d’été, l’aménagement d’un nouveau lieu de culte en 1925.
S’étant unis pour former une association, les résidents temporaires amassent des fonds afin de construire une chapelle qui répondra à leurs besoins. Ainsi, en 1925, 32 ans avant la création de la paroisse Notre-Dame-des-Champs, on érige une chapelle en bois que l’on nomme Notre-Dame-du-Bon-Secours.
Cette dernière, située là où l’approche du futur pont Jean-Baptiste-Legardeur sera construite, est déménagée vers 1935 de l’autre côté de la rue, justement pour permettre les travaux de construction. Elle sera démolie en 1995.
Une première chapelle d’une superficie de 12,2 sur 6,7 mètres (40 sur 22 pi) est érigée en 1678. Construite en murs de pieux avec un toit de paille, elle était située près du manoir seigneurial. Évidemment démolie depuis, elle portait le nom de « La Conception ».
Avant 1684, Repentigny est considéré comme une « mission » et c’est donc un prêtre missionnaire qui dessert la seigneurie. Dans le rapport de l’état général des missions commandé par Mgr de Laval en 1683, il est décrété que Saint-Sulpice abrite 4 familles et 12 âmes; l’île Jésus (aujourd’hui Laval), 6 familles et 30 âmes; Lachenaie, 20 familles et 70 âmes; et enfin Repentigny, 28 familles et 118 âmes.
Le 4 novembre 1684, la paroisse de Repentigny est officiellement créée sous le nom de « L’Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie » par l’évêque, Mgr François-Montmorency de Laval. Le 24 juin 1838, Mgr Jean-Jacques Lartigue attribue le nom de « L’Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie » à la paroisse Saint-Pierre-du-Portage. La paroisse de Repentigny prend alors le nom de « Purification-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie ».
Dès le début du 20e siècle, les plages repentignoises, tant le long de la rivière de l’Assomption qu’en bordure du Saint-Laurent, attirent de nombreux villégiateurs en provenance de Montréal. Cet afflux massif entraîne, pendant les mois d’été, l’aménagement d’un nouveau lieu de culte en 1925.
S’étant unis pour former une association, les résidents temporaires amassent des fonds afin de construire une chapelle qui répondra à leurs besoins. Ainsi, en 1925, 32 ans avant la création de la paroisse Notre-Dame-des-Champs, on érige une chapelle en bois que l’on nomme Notre-Dame-du-Bon-Secours.
Cette dernière, située là où l’approche du futur pont Jean-Baptiste-Legardeur sera construite, est déménagée vers 1935 de l’autre côté de la rue, justement pour permettre les travaux de construction. Elle sera démolie en 1995.