À la fin du 18e siècle, la coutume voulant que les parents âgés donnent leur ferme à l’un de leurs enfants en échange d’une pension alimentaire fournit d’autres exemples de consommation. Le tabac, l’huile à lampe, le sel, le poivre, le rhum, le vin et le thé figurent dans la liste des biens que Joseph Blanchard, un habitant de la rive sud, promettait de fournir annuellement à ses parents, en 1791.
En 1904, le pont Laurier permet de nouveaux débouchés pour notre agriculture qui, jusqu’alors, en était une de subsistance. Les maraîchers peuvent maintenant écouler les fruits de leurs labeurs aux marchés de Montréal grâce aux accès qui sont ouverts aux « voitures » sur le tablier de ce pont. En outre, la voie ferrée permet que le lait soit lui aussi acheminer vers Joliette ou Montréal via la gare située à Saint-Paul-l’Ermite. De plus, la nouvelle vocation de villégiature ouvre un autre créneau pour écouler les produits de la terre. Au tournant des années 70, l’avènement des coopératives laitières ainsi que d’un nouveau mode de transport, soit les citernes, propulse l’industrie laitière à un autre niveau.
Aujourd’hui, la zone agricole occupe 39,2 % du territoire repentignois
À la fin du 18e siècle, la coutume voulant que les parents âgés donnent leur ferme à l’un de leurs enfants en échange d’une pension alimentaire fournit d’autres exemples de consommation. Le tabac, l’huile à lampe, le sel, le poivre, le rhum, le vin et le thé figurent dans la liste des biens que Joseph Blanchard, un habitant de la rive sud, promettait de fournir annuellement à ses parents, en 1791.
En 1904, le pont Laurier permet de nouveaux débouchés pour notre agriculture qui, jusqu’alors, en était une de subsistance. Les maraîchers peuvent maintenant écouler les fruits de leurs labeurs aux marchés de Montréal grâce aux accès qui sont ouverts aux « voitures » sur le tablier de ce pont. En outre, la voie ferrée permet que le lait soit lui aussi acheminer vers Joliette ou Montréal via la gare située à Saint-Paul-l’Ermite. De plus, la nouvelle vocation de villégiature ouvre un autre créneau pour écouler les produits de la terre. Au tournant des années 70, l’avènement des coopératives laitières ainsi que d’un nouveau mode de transport, soit les citernes, propulse l’industrie laitière à un autre niveau.
Aujourd’hui, la zone agricole occupe 39,2 % du territoire repentignois